A propos de moi

À l’image de ces soupçons d’existence qui nous définissent en tant que personne, le ki fait partie intégrante de chacun de nous.

Bonjour à vous qui arrivez sur cette page,

Avant toute chose, sachez qu’écrire sur moi-même n’est vraiment pas un exercice facile. En cherchant d’où venait ce sentiment, je me suis rendu compte qu’il s’agissait de la peur, tout simplement. La voix de la peur, c’est celle qui susurre que vous en dites de trop ou pas assez, celle qui vous hurle que le lecteur va vous juger, celle qui vous intime de rester dans votre zone de confort… Or, tout ce que l’on a toujours sincèrement souhaité se trouve généralement au-delà de la peur. Alors je me suis dit qu’il fallait avancer.

Je suis Sandra, j’ai quarante ans et ai décidé, après avoir longuement pratiqué sur moi-même, de m’ouvrir pleinement au Reiki sur autrui.

Je dispose d’un parcours de vie assez classique semé de moments de joie et de périodes de difficultés qui m’ont fait grandir ; même si cela il faut bien avouer que l’on ne s’en rend compte pas de suite… Le deuil, le manque, les difficultés financières, le burnout, la maladie sont autant de choses qui pourraient définir certaines tranches de mon existence. Fort heureusement, la vie est l’image même de l’équilibre. Aussi, donner la vie, recevoir, retrouver une stabilité financière, se reconstruire, guérir constituent également une partie de moi.

À l’image de ces soupçons d’existence qui nous définissent en tant que personne, le ki, ou chi/qi en chinois, fait partie intégrante de chacun de nous. Il est nous et nous sommes lui. Venu d’Asie, ce terme désigne l’énergie vitale, la force fondamentale qui anime l’univers et tous les êtres vivants. Bien qu’invisible, elle n’en reste pas moins palpable et tout être humain sur terre est parfaitement à même de la ressentir s’il y prête attention.

Mes premiers contacts avec le Ki

Comme énoncé plus haut, l’énergie fait partie de nous. On pense indirectement à elle lorsqu’on ressent un coup de mou ou un regain de vitalité.

Ma rencontre avec cette force vitale est assez lointaine. Sans vouloir paraître présomptueuse, enfant, le ki était une chose avec laquelle je jouais… En effet, j’ai toujours été très volubile et mes mains étaient (et sont toujours) un outil de mon langage non verbal. Durant mes moments de silence, et plus particulièrement en étudiant mes leçons, j’avais tendance à jouer avec mes doigts et à tirer de « longs fils invisibles » de ceux-ci. Sans en avoir aucunement conscience à l’époque, je jouais avec de l’énergie.

Cette petite manie m’a peu à peu quittée durant mon existence de jeune adulte et plus particulièrement lors du passage vers la vie active. J’ai cessé de jouer les « fils invisibles sortis de mes doigts » jusqu’au jour où j’ai poussé la porte d’un cours de Taï Chi. Le ballet énergétique qui résulte de l’apprentissage de cet art martial par un groupe fut une forme de révélation. 
Une chose en entraînant une autre, le reiki est entré dans ma vie et ne m’a plus quittée depuis.

Mon apprentissage du Reiki

J’ai réalisé progressivement les différents niveaux du Reiki Usui (Shiki Reiki Ryoho) auprès du même maître-enseignant dont la lignée est traçable jusqu’au père fondateur du Reiki, Mikao Usui. Ainsi, je suis moi-même devenue un maître-enseignant. Soucieuse de poursuivre mon cheminement et d’approfondir mes connaissances en la matière, c’est tout naturellement que je me suis intéressée au Reiki Karuna©. Alliant douceur enveloppante et taux vibratoire élevé, cette forme de reiki pourrait se traduire par « compassion en action ». Elle est un atout indéniable lors des soins énergétiques et le sera encore davantage une fois ma maîtrise accomplie, en décembre 2025.

Une progression continue

Sachant que la formation continue est un élément profitable pour tous, j’envisage par la suite de maintenir mon éveil au monde du Reiki mais aussi de me former au yoga nidra (dont je vous parlerais lorsque le moment se présentera) et ce, pour mon plus grand bien, celui de toutes les personnes concernées et en harmonie avec l’Univers.

Affectueusement,

Sandra

Une photo de moi, Sandra